Le cavalier, un serrurier | E. Beudant

ACTION DE LA MAIN. – Quand une serrure, mal entretenue, paraît difficile à ouvrir et qu’après plusieurs essais infructueux on emploie la force, qu’on s’impatiente, on dépense sa peine en pure perte et on finit par tordre ou par casser la clef sans faire céder la serrure. ais, si avant d’ena rriver là, on fait venir un serruruier, celui-ci prend doucement la clef et, sans faire aucun effot, il ouvre la serrure comme par enchantement. Voilà l’action de la main sur la bouche du cheval au moyen du mors.

Etienne Beudant, Extérieur et haute école, [sl] : Jean Michel Place, 1987, pp. 34-35

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